“NOUS SOMMES DES CRÉATEURS D’INVESTISSEMENTS RENTABLES”

Qui suis-je ?

 

Tout le monde n’a pas eu la chance que j’ai eue.

D’abord, de pouvoir découvrir Reims. Et ensuite, d’avoir eu un puissant moteur pour décoller.

C’est ce qui m’est arrivé :

Pour mon BTS immobilier, je suis parti à Reims. Changer de région c’était ça mon épopée. Et bien sûr, officiellement c’était d’obtenir mon diplôme !

J’aime la France pour en avoir exploré de très nombreux recoins en famille. Partout où j’ai baroudé, j’ai rencontré une histoire, une âme, j’ai voyagé dans le temps. La France m’a apporté beaucoup de bonheur.

J’y suis profondément attaché.

A tel point que quand je me projetais dans l’avenir, je me voyais restaurer des châteaux ou des vieilles bâtisses. Je voulais apporter ma contribution au patrimoine culturel.

Je ne vous cache pas que j’en suis revenu. L’investissement à 7 chiffres, ce n’est pas pour les débutants ! Et honnêtement, ça ressemble même plutôt à un gouffre financier pour quelqu’un comme moi !

Mais ça m’a tout de même mis le pied à l’étrier.

À Reims, je reprends mes habitudes d’explorateur. J’ausculte le marché immobilier local pour me trouver un appartement, et je m’aperçois que les prix sont vraiment très bas, surtout pour quelqu’un qui vient de la région parisienne ! Je vois aussi que la ville est super dynamique, qu’il y a beaucoup d’étudiants, de commerces, d’entreprises de renom, que ça vit, ça bouge. Ce n’est pas du tout une ville en déclin.

On est en 2019.

Et c’est là que mon moteur s’allume ; c’est mon père qui appuie sur le bouton.

 

On n’est jamais seul quand on passe à l’action !

C’est vrai qu’avoir une famille comme la mienne, ça change beaucoup la donne. Quand on est jeune, il faut un déclencheur, quelqu’un qui croit au projet, qui voit tout de suite sa valeur et qui vous dit « fonce ». Même si au fond, l’esprit d’entreprendre est déjà là et ne demande qu’à prendre le pouvoir.

Je regrette qu’on n’ait pas tous des parents qui nous éduquent à réaliser des investissements et à entreprendre.

Pourtant, c’est vraiment la clé de l’autonomie. Ne pas dépendre de quelqu’un ou s’assurer soi-même une retraite, permet de voir la vie d’une toute autre façon.

Un peu comme Thomas Pesquet qui regarde la Terre, et qui se sent dégagé de sa vie de petite fourmi. On n’a plus qu’à observer sa beauté et contribuer à sa façon.

J’achète mon premier appartement à Reims le jour de mes 20 ans, qui se loue très bien ; ça me donne envie de continuer.

Le besoin d’entreprendre commence à monter en moi.

La majorité des jeunes de mon âge pensent qu’il faut un diplôme pour réussir sa vie. Mon énergie vient d’ailleurs …

Elle prend forme : je dois créer un projet. Un projet qui me porte et qui puisse fédérer d’autres personnes. Un projet qui génère un impact et suffisamment de confiance pour donner envie à d’autres de rentrer dans l’aventure.

En ville, j’ai noué des relations avec beaucoup d’acteurs économiques, des commerçants, des artisans, des entreprises. J’ai développé un réseau incroyable.

J’aime comprendre le fonctionnement d’une ville, j’aime participer à son dynamisme, faire travailler les gens localement.

C’est une valeur fondamentale de Capsul, que j’ai créée en 2020.

Dans les services que j’ai mis en place, à chaque étape, on trouve un acteur économique local. Parce que si les autochtones ont du travail, cela perpétue le cercle vertueux de la ville dynamique. Et cela protège l’investissement immobilier en lui faisant prendre de la valeur.

En installant nos bureaux au 73 rue Gambetta, à voir ses vitrines et du monde à l’intérieur, la rue vit. Je fais travailler les commerces à mon niveau et avec des commerces dynamiques, les habitants restent, la ville vit.

« Ne te demande pas ce que ta ville peut faire pour toi, mais ce que tu peux faire pour ta ville »

Je m’épanouis donc en tant qu’entrepreneur, porteur de projet qui veut continuer de croitre grâce aux forces vives qui y participent.

Et je m’épanouis aussi en proposant à mes pairs de vivre la même aventure que moi, de posséder un patrimoine immobilier plus que rentable, qui prend de la valeur en quelques mois.

Aujourd’hui, à 23 ans, je suis propriétaire de 4 appartements.

Mon diplôme c’est Capsul, j’ai le titre d’investisseur immobilier et j’ai une mention « 40 nouveaux investisseurs en 1 an ».

© 2021 CAPSUL. All rights reserved.