Comment choisir la bonne surface et la bonne typologie de bien ?
Posséder plusieurs appartements permet
- lorsque tout va bien : de cumuler gentiment des revenus et de provisionner tranquillement pour les aléas
- lorsque quelque chose va mal : tu n’as pas tous tes œufs dans le même panier. Tu ne dépends pas que d’un seul loyer, et tu peux donc mutualiser les ressources pour pallier une défaillance sur un logement (travaux, risque d’impayés…)
Il est judicieux de connaitre la population de la ville dans laquelle tu investis.
Pas d’inquiétude, Capsul est là pour ça : tu peux retrouver toutes les données stratégiques sur nos fiches-villes pour commencer, et nous te donnerons toutes les informations dont tu as besoin pour comprendre ton investissement.
Dans certaines villes universitaires, comme Reims, les petites surfaces se louent bien. Elles sont toujours très recherchées car 90% de la population peut y avoir accès : le taux d’endettement de quasiment n’importe quel locataire est respecté avec le loyer d’un studio à Reims ou à Troyes, sans problème. (Le locataire doit gagner environ 3 fois le montant du loyer en revenus nets mensuels).
En revanche, les grandes surfaces sont plus rares sur le marché. On le voit avec l’analyse des taux d’occupation : en temps de crise, les gens ne bougent pas et ne quittent pas leur logement si facilement. D’où la rareté du produit. Ce n’est donc pas stupide, selon la population locale, d’investir dans une grande surface.
L’autre avantage c’est que la colocation se développe énormément, que ce soit entre étudiants ou entre familles recomposées : le coût du loyer est divisé entre plusieurs locataires qui restent co-solidaires du bail même jusqu’à 6 mois au-delà du départ d’un des colocataires.
Il faut bien discuter avec ton équipage Capsul de la faisabilité et de la rentabilité des projets, pour choisir exactement quel type de logement doit composer ton portefeuille.
0 commentaires